Spf pe normandie 050321 Page 01

Santé publique France publie des points de situations hebdomadaires sur la surveillance sanitaire en Normandie. Une large partie de cette publication est consacrée au suivi de l’épidémie de COVID-19. Les dernières données des bronchiolites et gastro-entérites aigües sont également présentées.

Ainsi, « En semaine 8 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent leur hausse. Les taux d’incidence ainsi que les taux de positivité sont en augmentation en Seine-Maritime, dans l’Eure et l’Orne et stable ou en diminution pour les autres départements. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est en augmentation et supérieur à 1. La reprise épidémique ne s’observe pas complètement en milieu hospitalier. En effet, le nombre de nouvelles hospitalisations ainsi que le nombre total de personnes hospitalisées pour COVID-19 sont en diminution. Cependant, il existe un décalage de temps entre la reprise épidémique en population générale et l’impact sur les hospitalisations. Le nombre de personnes hospitalisées en réanimation est stable. Toutefois, le nombre de nouvelles admissions en réanimation augmente légèrement en semaine 8 surtout en Seine-Maritime.

La campagne de vaccination se poursuit, la couverture vaccinale ayant atteint le 3 mars 90,4% pour la première dose et 73,2% pour la deuxième dose chez les résidents d’EHPAD.

Les variants plus transmissibles deviennent prédominants. En semaine 8, 55,9 % des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) enregistrés dans SI-DEP étaient associés à un test de criblage (soit 3 728). Parmi eux, 59,7 % (2 225) correspondaient à une suspicion de variant UK et 5,8 % (216) à une suspicion de variant ZA ou BR. L’Eure et la Seine-Maritime présentaient, respectivement, une proportion de 79% et 60% de suspicions de variant UK, le Calvados 46%, l’Orne 37% et la Manche 33%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 15,8% dans le Calvados, 15,4% dans la Manche, 7,3% dans l’Orne et inférieur à 3% dans les autres départements. ».

  

Réalisation

Santé publique France

 

Date de publication

Février-Mars 2021

 

Pour accéder à la publication

 

 

AUrse Reperes

L'Agence d’urbanisme de Rouen et des Boucles de Seine et Eure (Aurbse) publie 5 livrets issus de sa collection « Repères » qui s’adresse aux élus et techniciens des collectivités territoriales. Ces livrets se composent d’indicateurs synthétiques structurés en quatre thématiques : Emploi/Activité économique, Aménagement/Foncier/Habitat, Mobilité et Socio-démographie.

Ainsi, « 5 livrets territoriaux « Repères 2020 » proposent une analyse des dynamiques et du positionnement des cinq Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) adhérents à l’Agence, vis-à-vis d’un panel de territoires ayant des caractéristiques similaires ».

  

Réalisation

Aurbse

 

Date de publication

Janvier 2021

 

Pour accéder aux livrets

 

Img Observatoire au 31 12 2019 FOCUS v2.0 Page 01

Le cabinet ENEIS dans le cadre de l’observatoire départemental petite enfance, enfance, jeunesse, parentalité et animation de la vie sociale du département de la Manche propose un focus sur l’accueil des enfants et des jeunes en situation de handicap dans les structures de droit commun, de leur petite enfance à leur majorité.  

Ce focus repose notamment sur une enquête diffusée auprès des professionnels de l’accueil (individuel et collectif) des enfants et adolescents dans la Manche.

  

Réalisation

ENEIS, Département de la Manche, Caf, MSA

 

Date de publication

Janvier 2021

 

Pour accéder au focus  

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InseeAnalyse Chomage012021

L’Insee publie un nouveau numéro de sa collection Insee Analyses consacré au chômage en région Normandie et aux disparités observés au niveau territorial.

Ainsi, « Au quatrième trimestre 2019, le taux de chômage normand s’élevait à 8,0 % de la population active, une proportion proche du niveau métropolitain. Les zones d’emploi situées à l’ouest de la région, en particulier manchoises, étaient davantage préservées. Entre fin 2015 et fin 2019, le chômage avait marqué un net recul dans les différents territoires normands (- 2,2 points globalement). Dans le même temps, le nombre de demandeurs d’emploi tenus d’effectuer des démarches de recherche d’emploi avait également reculé (- 4,6 %, évolution la plus favorable parmi l’ensemble des régions de France métropolitaine). Lors du premier confinement de mars et avril 2020 consécutif à la crise sanitaire, le nombre de demandeurs d’emploi a progressé à nouveau. En avril 2020, le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité a augmenté de plus de 15 % dans toutes les zones d’emploi normandes ».

  

Réalisation

Insee

 

Date de publication

Janvier 2021

 

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InseeFlash Deplacement012021

L’Insee publie un nouveau numéro de sa collection Insee Flash consacré au mode de déplacement des actifs normands.

Ainsi, « En 2017, en Normandie, 1,2 million d’actifs se déplacent pour aller travailler. Un tiers d’entre eux effectue un trajet inférieur à 5 km. Pour ces déplacements courts, les modes de transport doux (marche, vélo) sont davantage utilisés et représentent plus d’un trajet sur cinq. Mais globalement, quelle que soit la distance parcourue, les actifs normands vont plus souvent travailler en voiture que leurs homologues de province. Se rendre au travail en transport en commun est plus fréquent dans les grands pôles urbains, notamment dans celui de Rouen ».

  

Réalisation

Insee

 

Date de publication

Janvier 2021

 

Pour accéder à la publication

 

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